(Ethaniel) Öga för öga.
Ven 17 Fév - 0:22
Ah... Ethan, Ethan, Ethan... Tu es trop naïf pour ce monde. Où alors trop bon. Quelque chose entre les deux est aussi possible. Tu n'as toujours cru qu'en une chose : celle d'aller déceler la moindre part de lumière de tout le monde.
Tu te sens responsable de tout. Tu veux être responsable de chacun, pour mieux les aides ? Peut-être, pour être toujours là pour eux ? Encore plus.
Mais tu ne peux pas être partout, Ethan. Tu n'es qu'à un seul endroit.
Apprends d'abord à ne pas croire tout ce qu'on te dis. A faire la part des choses. A vivre pour toi, et
à te fier à ce que te hurle ton instinct. Et après, tu feras autre chose.
Tu n'as pas le mental de ta carrure. La force physique, peut-être, le mental, certainement pas. Tu as le droit de te montrer faible, tu sais, personne ne t'en voudras.
L'unique conseil qu'on a envie de te hurler, c'est que purée, Ethan, sors un peu tes crocs !
Tu te sens responsable de tout. Tu veux être responsable de chacun, pour mieux les aides ? Peut-être, pour être toujours là pour eux ? Encore plus.
Mais tu ne peux pas être partout, Ethan. Tu n'es qu'à un seul endroit.
Apprends d'abord à ne pas croire tout ce qu'on te dis. A faire la part des choses. A vivre pour toi, et
à te fier à ce que te hurle ton instinct. Et après, tu feras autre chose.
Tu n'as pas le mental de ta carrure. La force physique, peut-être, le mental, certainement pas. Tu as le droit de te montrer faible, tu sais, personne ne t'en voudras.
L'unique conseil qu'on a envie de te hurler, c'est que purée, Ethan, sors un peu tes crocs !
Si l'on m'avait conseillée
J'aurais commis moins d'erreurs
J'aurais su me rassurer
Toutes les fois que j'ai eu peur
Je me serais blottie au chaud à l'abri d'un vent trop fier
Et j'aurais soigné ma peau blessée par les froids d'hivers
J'aurais mis de la couleur sur mes joues et sur mes lèvres
Je serais devenue jolie
J'ai construit tant de châteaux
Qui se réduisaient en sable
J'ai prononcé tant de noms
Qui n'avaient aucun visage
Trop longtemps je n'ai respiré autre chose que de la poussière
Je n'ai pas su me calmer chaque fois que je manquais d'air
Mes yeux ne veulent plus jouer, se maquillent d'indifférence
Je renie mon innocence
En rouge et noir, j'exilerai ma peur
J'irai plus haut que ces montagnes de douleur
En rouge et noir, j'afficherai mon cœur
En échange d'une trêve de douceur
En rouge et noir, mes luttes mes faiblesses
Je les connais, je voudrais tellement qu'elles s'arrêtent
En rouge et noir, drapeau de mes colères
Je réclame un peu de tendresse
J'aurais commis moins d'erreurs
J'aurais su me rassurer
Toutes les fois que j'ai eu peur
Je me serais blottie au chaud à l'abri d'un vent trop fier
Et j'aurais soigné ma peau blessée par les froids d'hivers
J'aurais mis de la couleur sur mes joues et sur mes lèvres
Je serais devenue jolie
J'ai construit tant de châteaux
Qui se réduisaient en sable
J'ai prononcé tant de noms
Qui n'avaient aucun visage
Trop longtemps je n'ai respiré autre chose que de la poussière
Je n'ai pas su me calmer chaque fois que je manquais d'air
Mes yeux ne veulent plus jouer, se maquillent d'indifférence
Je renie mon innocence
En rouge et noir, j'exilerai ma peur
J'irai plus haut que ces montagnes de douleur
En rouge et noir, j'afficherai mon cœur
En échange d'une trêve de douceur
En rouge et noir, mes luttes mes faiblesses
Je les connais, je voudrais tellement qu'elles s'arrêtent
En rouge et noir, drapeau de mes colères
Je réclame un peu de tendresse
Oh, si elle savait... Tu avais la rage, Ethan, tu avais une terrible hargne sans nom, l'envie de les déchiqueter, les détruire, faire en sorte qu'ils payent. Rongé, bouffé intérieurement par un chagrin que tu ne veux plus jamais connaître.
Et puis, non. Tu as compris qu'il n'y aurait plus de retour arrière si tu cédais à chacune de tes pulsions. Pourquoi, comment ? Ah ça, c'est peut-être parce qu'au final, ça n'a jamais été toi.
« Non, jamais. »
Et ce n'est même pas un mensonge. En fait, même si tu les avais eu en face de toi, tu les aurais juste détesté. Rien de plus.